Agratas

Le paradoxe de la giga-batterie

Agratas envisage un futur 100% électrique mais doit d'abord construire des gigafactories énergivores pour y parvenir.

Histoire & positionnement

Filiale du mastodonte Tata Sons, Agratas s'est lancée dans la fabrication de batteries de pointe pour la mobilité électrique et le stockage d’énergie. En investissant plus de 4 milliards de livres sterling dans une giga-usine au Royaume-Uni, Agratas devient un acteur clé dans la course au "zéro émission" en Europe. Tout est détaillé sur leur site officiel.

Chiffres clés ou projets récents

L'usine planifiée au Royaume-Uni vise une capacité de 40 GWh par an, symbole d’une ambition lourde en mégawattheures et en chiffres verts. Un investissement lourd pour une course aux volumes de batteries massifs, plus qu’à la finesse écologique. Plus d'infos ici.

Impact écologique / RSE

Agratas promeut une économie circulaire autour du recyclage et de la réutilisation des matériaux, un pas vers la durabilité, même si la production initiale reste énergivore. Leur démarche RSE est bien mise en valeur sur leur page officielle, où l’on sent bien la volonté de réduire le bilan carbone sans pour autant l’éradiquer de sitôt.

Innovations / partenariats

Des centres de R&D en Inde et au Royaume-Uni collaborent avec universités et instituts pour booster les batteries de demain. Leur nouvelle identité visuelle, révélée sur leur page dédiée, reflète cette ambition collaborative et innovante.

Conclusion

Agratas joue sa carte sur l’innovation et la transition énergétique, mais ne pourra pas se passer longtemps de l’ombre d’une industrie lourde et énergique pour produire ses batteries "propres".