Belwind

Le vent belge qui décoiffe

Belwind joue à éolienne offshore en mer du Nord, mais peut-on naviguer sereinement entre innovation verte et défis financiers ?

Histoire & positionnement

Fondée en 2006, Belwind est la tête pensante du parc éolien du même nom, situé sur le banc de sable Bligh Bank, à 46 km de Zeebruges. Son parc a été développé en deux phases, complétées entre 2010 et 2017, totalisant une capacité respectable de 330 MW. En 2017, Belwind est acquise par Parkwind, renforçant sa place dans le paysage des énergies renouvelables belges. Une aventure belge bien rythmée qui se lit en détail sur Wikipedia et le dossier PitchBook.

Chiffres clés ou projets récents

Le parc développe une capacité totale de 330 MW avec 105 éoliennes réparties en deux phases. Depuis son rachat en 2017 par Parkwind, les projets restent ambitieux bien que les chiffres précis des investissements futurs restent discrets. Les résultats opérationnels bénéficient d’un modèle consolidé, accessible avenue PitchBook.

Impact écologique / RSE

En pleine mer du Nord, Belwind réduit la dépendance aux sources fossiles, mais demeure confronté aux impacts environnementaux propres à l’éolien offshore, comme l'empreinte sur la vie marine. Ses efforts RSE se concentrent sur la minimisation des perturbations locales, une posture critique mais mesurée visible sur Wikipedia.

Innovations / partenariats

La fusion avec Parkwind avant tout : un partenariat stratégique qui booste le développement éolien belge offshore, désormais sous une bannière plus large. Cette collaboration illustre bien la dynamique du secteur, à suivre dans PitchBook.

Conclusion

Belwind illustre la réussite énergique des débuts verts en mer du Nord, mais doit encore prouver que son souffle peut durer entre ambitions écologiques et réalité économique. Une histoire belge au vent parfois contraire.